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Une histoire depuis 1890

L'histoire en image

Il existe des lieux patrimoniaux aux mystérieuses et étranges vibrations qui ont su traverser le temps et qui regorgent de richesses historiques, qui font appel à l’édifications des efforts et volontés de conservation, tant par les pionniers qu’aux différents occupants successoraux. Il se veut ici faire briller, valoriser et présenter dans le plus grand respect, d’hier à aujourd’hui, nos aïeux, tout ce parcours, tous ces efforts, tout le travail derrière les Jardins et la conservation de ce joyau du patrimoine bâti exemplaire de Verchères.

Cette section en constante évolution, toujours à la recherche d’insertions de clichés du passé, d’informations rattachées, d’histoires des prédécesseurs, qu’au développement des jardins en passant par les nombreux travaux de restaurations, d’améliorations, d’introductions ou des changements important des lieux, vous pouvez parcourir et dérouler ce fil du temps en image.

About Us Image

Début 20ième siècle. La bâtisseur Philibert H. Pigeon exerçait le commerce de Banquier à même la résidence.
Elle fût l’une des premières succursales de la Banque Provinciale du Canada de +ou- 1896 à 1928. Aujourd’hui sous le nom de Banque Nationale du Canada.

Déroulez la page pour explorer notre ligne du temps

// 1925

Seul photo, en possession, de la famille Pigeon devant leur maison. Étant tous très près de la religion, une réunion commémorative de différents personnages religieux importants a eu lieu à la résidence vers 1925.

Dès lors, des hostas étaient cultivées en pot sur piédestal soulignant l’entrée versant rue Saint-Pascal de la résidence. Devant, Prêtres et religieux ont les pieds dans un tapis de muguet.

// 1928

Un moment important à la graduation d’Irénée Pigeon, fils de Philibert H. Pigeon, de son passage au Scolasticat des Oblats d’Ottawa par Mgr. Ovide Charlebois, qui est également son oncle maternel vers 1928.

// 1930

Photo aérienne du site vers 1930. On voit la maison et la salle paroissiale encore debout. Du côté sud de ce bâtiment nous voyons les peupliers tous jeunes à l’époque. Le lit de la rivière qui passe très près du jardin a été dévié en 1976 lors des nouvelles infrastructures d’égout et de station de pompage de la municipalité.

// 1944

Quelques années avant le décès de Philibert H. Pigeon en 1944 à son chalet au Lac Nominingue. On y voit Marie-Olive, Marie-Eustelle, Irénée, Philibert et quelques invités.

// 1987

1987. Après avoir acquis la maison en 1984, Rolland lui a arboré fièrement ses premières couleurs lors de son rafraîchissement puisque la maison, semble-t-elle, toute blanche. On y voit les enseignes de son commerce d’antiquités en bas à droite.

// 1989

La résidence vers la fin des années 80, juste avant le début des travaux du jardin et de plusieurs travaux extérieurs.

// 1992

1992, Les premiers jours du jardin, l’atmosphère prenait forme. Par cette jeune végétation, le soleil était très présent.

// 1992

Une prise au fond de la cours. Le petit conifère bleuté évasé en avant plan (Juniperus squamata ‘Meyeri’) mesure aujourd’hui 2,5m de haut par 3m de large et est très spectaculaire.

// 1994

Novembre 1994. L’une des rares photos de Rolland Lanoix parmi ses antiquités de grandes qualités qu’il affectionnait de sa collection personnelle. À cette époque le jardin en était à ses débuts…

// 1996

Une descendante maternelle de la famille Pigeon et amie de Rolland lui rendant visite au printemps 1996. Le Gazébo n’y était pas et le gros frêne, juste à leur gauche, n’y est plus puisqu’il menaçait la culture au sol par son ombre dense. La topographie du site contribue à créer le mouvement des jardins.

// 1996

Dans cette même année, une baignade parmi une chaude journée d’été. Aujourd’hui une terrasse de pierre embrassant le bassin est autrement plus confortable que ce galet… Disparu entre 1998 et 2000, les poissons qui habitaient le plan d’eau ont été retrouvés.

// 1996

Quelle magie pour un enfant d’une telle balançoire…En haut à droite, la grande pergola qui venait tout juste d’être installée.

// 2000

Le jardin renfermant ses trésors dans le sol lors de l’acquisition en mars 2000.

// 2000

La Presqu’îles était un véritable cauchemar horticole avec ses débordements de plantes aquatiques envahissantes se mêlant au gazon tracent au travers les rhizomes d’iris… Il y avait tout un ménage à faire.

// 2000

Été 2000, quel nouveau propriétaire pouvait se douter d’une végétation aussi luxuriante et abondante? La lourdeur de la toile commençait à se faire sentir. Il était tant d’intervenir afin de retrouver un équilibre visuel.

// 2000

La partie du bas, vue de contre plongé durant l’été 2000. Toute une orchestration végétale, il y avait de toute évidence plusieurs choix à faire. Mais quel potentiel…

// 2000

Dès l’automne 2000 des travaux importants ont commencé dans le jardin. Il était urgent de réaliser ce muret de soutènement de pierres sèches naturelles. Un ouvrage colossal et audacieux mesurant 1,5m de haut sur 1m de profondeur par 16m le long!

// 2001

C’est en 2001 que les préparatifs ont eu lieu pour recevoir le Gazébo pré construit. Ici, c’est l’excavation pour fabriquer une bonne assise pour une plate-forme solide. Avec des accès limités, pas évident de réaliser les travaux au jardin.

// 2001

En trois sections, Le Gazébo fut installé à l’aide d’une grue. Ici on voit le toit s’apprêter à trouver sa place sur ses murs. Une introduction au jardin très excitante.

// 2002

En 2002, le jardin commence à prendre de la maturité en plus de retrouver son équilibre. Plusieurs introductions végétales viennent remplacer l’ordinaire pour offrir richesse et spectacle harmonieux.

// 2002

Juin 2002, avec cet habillage, la Pergola dégage une atmosphère magique, une vraie fenêtre sur un chemin à découvrir.

// 2005

La Volière en avril 2005, peu avant d’entreprendre la restauration complète de ce véritable monument historique de jardin introduit par Rolland Lanoix. La pourriture était malheureusement en train de faire de sérieux ravages irréversibles à la structure en pin.

// 2006

C’est vers la fin de la saison 2006 qu’une copie, version améliorée, fut réalisée avec un bois franc exotique et durable. Ici, encore à l’atelier de menuiserie, beaucoup de travail de finition reste encore à faire.

// 2006

Le dôme est la seule partie originale récupérée de la Volière initiale. Après avoir refait la corniche, lucarnes et arêtes, elle est maintenant presque prête pour l’ouvrage de ferblanterie artisanale.

// 2008

C’est seulement qu’au printemps 2008 que la « nouvelle » Volière fit installée au jardin sur son socle. Étape par étape, l’assemblage minutieusement bien coordonné s’est bien déroulé.

// 2008

Une fois terminé, elle brille et fait peau neuve pour longtemps encore. Il reste les grillages et l’électrification. Tout un habitacle attendant colombes et pinsons prévus pour 2009.

// 2006

Été 2006, Les balcons de la résidence ont été complètement restauré. De l’ossature de la charpente à la finition des barrotins. On voit ici le soutient en porte-à-faux temporaire des toits pendant que la préparation et le travail de menuiserie en atelier est en train de se faire.

// 2006

Juin 2006. Lors de la restauration de la résidence, plusieurs travaux adjacents ont été réalisés. Comme Les accès et trottoirs qui ont été refait. Le pavé ancien a été précieusement récupéré.

// 2006

Des bordures de granite guillotinées ceintures le pavé en chevron comme il se voyait autrefois.

// 2006

Le travail fraîchement terminé prêt à recevoir fontaine centrale et les grandes marches du balcon en restauration.

// 2006

Voilà, une fois les balcons terminés avec ses grandes marches architecturales qui se déposent sur le plateau de pavage, il reste quelques détails.

// 2008

Juin 2008 : De vieux cèdres blancs vulgaires démesurés et dépérissant garnissaient ces bacs de béton isolés juchés sur un mur de soutènement. Il était maintenant le temps de tout refaire ceci. Une variété naine plus appropriée au besoin a été sélectionnée.

// 2008

À l’aide de machinerie lourde, les bacs ont dû être manipulés et retirés un à un pour ensuite retirer ces souches de cèdre étouffées qui étaient devenues comme de véritables blocs de racine n’ayant plus de sol.

// 2008

2008. Un paravent avait été improvisé avec une série de volets ancestrales récupérés. Malgré l’ingénieuse idée, cette originale structure de jardin était malheureusement éphémère et à dépérit rapidement. Un plan de reconstruction version amélioré s’en suivra.

// 2009

Cette idée fût repensée, redessinée et conceptualisée en pièces sectionnelles de faux-volets sur demi-mur de planches embouffetés surmonté d’une tête inspirée des détails de la résidence. On voit ici l’installation en cours en mai 2009.

// 2009

Juillet 2009. Fière allure, le tout nouveau paravent fait de chêne blanc, soigneusement réfléchi dans sa qualité de réalisation, crée un fond hors commun théâtral respectant l’idée premier. Une patine de finition à la française a été patiemment réalisée et traverse le temps à merveille.

// 2010

Printemps 2010. Le petit garage adjacent à la résidence est littéralement pris en otage. Rénovation, mise à niveau, isolation, finition pour créer l’espace Boutique-Accueil de nos visiteurs. Lors de la fin de la saison, la boutique est rangée pour faire place à de nombreux végétaux non rustiques ou tropicaux qui ont besoin d’une dormance à l’abris du gel.

// 2010

Après plusieurs heures de travail, finition, détails et installations, nous sommes fiers d’accueillir nos visiteurs. Plafond de labris de bois blanchi, plâtre vénitien à l’ancienne au mur avec patine française, tuiles d’ardoise au plancher. Un décor romantique et chaleureux à l’image des lieux pour y vendre objets et produits choisi sous l’accent Maison-Jardin. Une sélection du moment de végétaux qui se retrouvent aux jardins sont également disponibles en saison.

// 2010

Printemps 2010. Restauration majeur des plans d’eaux du niveau supérieur. Après avoir tout retiré les végétaux autour du projet pour les mettre en jachère durant les travaux et d’avoir pris soin de faire toute la préparation technique, est venu la grande étape d’excavation en commençant par le fond.

// 2010

Pendant que les travaux des marais filtrants plus haut, des travaux en parallèle de fondation se font dans la partie plus creuse. La cascade qui fera le lien entre les 2 parties reste à venir.

// 2011

Malgré le fouillis et les allures chaotiques, il y a un ordre dans le désordre, une étape à la fois. Du même coup si renversant, stressant et si loin du résultat recherché. L’excavatrice est au 2/3 de son travail fait.

// 2011

On voit l’aspect technique au fond de l’une des deux parcelles de marais filtrant. Comme d’immense filtreur d’aquarium souterrain où l’arrivé d’eau passera à travers rejoignant les plantes aquatiques.

// 2011

Les parois sont fait de maçonnerie de pierres St-Marc. Une pierre largement utilisé dans la fabrication des fondations de nos maisons ancestrales. Sise sur un socle, on voit l’évolution du projet qui prend forme.

// 2010

L’étape du réaménagement de surface, de la finition, et de la réintroduction des plantes aquatiques. Elles participent à la filtration naturelle et logent également des niches de micro-biodiversité bénéfique à l’équilibre d’une bonne eau de qualité.

// 2011

Mai 2011, 1 ans plus tard, après de multiples embuches, le projet titanesque est terminé. Il nous reste à transférer les végétaux qui sont en jachère. Nous retrouvons peu à peu l’esprit, la symphonie et la magie des lieux en version améliorée.

// 2011

28 août 2011. La tempête tropicale Irène nous frappe de plein fouet. Une immense branche de notre Olivier de Bohème se casse et se renverse contre une clôture. Nous sommes bénit des dieux que l’emblématique Volière n’a pas été touché.

// 2014

À tout les 3 à 5 ans. Les gigantesques peupliers sont visités par des émondeurs professionnels certifiés d’expérience. Un nettoyage, inspection et contrôle de sécurité y sont exercés. Ici en mai 2014.

// 2014

Nous profitons des derniers jours de repos des plantes pour exécuter le travail. Les grosses branches sont descendues en section par système de cordage afin de contrôler la manipulation et d’évité les dommages au sol.

// 2014

Juché à plus d’une centaine de pieds, chaque mouvement est mesuré d’une extrême sécurité.

// 2014

Dans un plan d’eau à filtration naturelle, et avec la vie aquatique, il y a beaucoup de matière organique. Chaque année nous vidons la partie de baignade et nettoyons au jet d’eau contour de pierre et plancher. Après le remplissage, le redémarrage de l’ensemble des jeux d’eau. L’eau coule des cascades et la magie reviens. En vous épargnant les détails des pirouettes des poissons.

// 2014

11 Avril 2014, une pause dans l’évolution des jardins. Soleil de printemps, fin de la fonte des neiges, c’est le moment de retirer les protections hivernales

// 2014

C’est en réalisant que le pommier causait problèmes et compétitions à plusieurs plantes autour et au sol que la décision de le retirer est survenue. Plusieurs espèces dont le Hêtre pourpre ‘Tricolor’ prendront la relève et seront mis en évidences en plus de dépasser largement la valeur ornementale du pommier.

// 2019

9 avril 2019, la dernière neige, 20cm de neige lourde suivi de verglas… Crack! Le majestueux genévrier pleureur qui trône depuis les débuts des jardins, cède et perd 2 des 3 troncs au niveau de la base. C’est sous la désolation qu’une chance est donné au dernier dépouiller. Quelle déstabilisante distorsion du paysage.

// 2020

7 juillet 2020. On attaque un ouvrage colossal d’une section des jardins : le remplacement d’une haie de cèdre vulgaire devenue trop imposante, la réfection des marches de dormants de bois et le redressement de la grande pergola. On voit au fond les cèdres blancs dénudés prêts à être coupés. On protège la pelouse.

// 2020

L’excavatrice se met à l’ouvrage dès son accès aux lieux.

// 2020

Voilà les cèdres coupés. Beaucoup de manipulation manuelle et un travail d’équipe.

// 2020

Une à la fois, on retire les souches, les vides de sol puis retiré des lieux.

// 2020

Les premières étapes de restauration de la grande pergola ont été réalisé. Le retrait des pièces endommagées, le redressement, la fixation de l’empattement et la stabilisation de la structure. Les arches, treillis, moulures, détails et la finition de la restauration viendront dans une seconde étape.

// 2020

Le résultat avec la pierre décorative, les enrochements et la nouvelle haie de cèdres ‘Brandon’. Reste le petit portail Victorien à réinstaller du haut de l’escalier bordé de son urne et la finition d’habillage végétale.

// 2021

Juin 2021. Après plus de 20 ans, il est temps pour le gazébo de faire peau neuve. Des artisants de toitures ancestrales retirent le vieux bardage de cèdre de moins bonne qualité est retiré.

// 2021

La qualité de réalisation est poussée un autre niveau et sera vraiment plus durable. Une épaisse membrane protectrice autocollante est installée et une moulure de finition technique en cuivre vient faire la finition des corniches. Le campanile au sol subit le même traitement.

// 2021

Un bardeau de cèdre rouge de l’Ouest rustique de première qualité a été choisi pour l’ouvrage. Une toile tissée de contact aératrice est fixée sous le bardage. Les noues sont confectionnées à chaque rang de bardage.

// 2021

Une fois le travail de la toiture terminé, un ponçage et une huile protectrice extérieur vient compléter la restauration. Le campanile travaillé au sol retrouve sa place avec son grand terminal de fer forgé.

// 2021

Juin 2021. En parallèle des travaux du Gazébo, le cabanon subit le même sort de restauration.

// 2021

Étant encore plus vieux que le gazébo, le campanile, faîtes, fascias, soffites, cadrages et moulures ont tous été repris de cèdre de rouge de qualité supérieur.

// 2021

Voilà le résultat. Le campanile refait à neuf avec son terminal en forme de lys, les fenêtres et les jardinières peint noir, Le cabanon brille plus que jamais.

// 2021

Juin 2021. Après près que 15 ans déjà, au tour de la Volière de se faire rafraîchir. On la déshabille de ses grillages, un bon ponçage et 2 bonnes couches d’huile protectrice. Peinture intérieure de la coupole et du plancher de bois amovible. Réparation et finition du terminal en fer forgé fait de peinture cuire en atelier. Ensuite, le remontage pour retrouver nos oiseaux aux jardins.

// 1900

Descritpion

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Descritpion

// 1900

Descritpion

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Maison historique

Authentique maison victorienne de 1890

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Terrain de 25 000 pi2

Un jardin à caractère historique à couper le souffle

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23 thématiques

Un univers magique et une énergie féerique!

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Commodités

Stationnement gratuit et aires de pique-niques à proximité